Sujet: Sebastian Raphaël Gray Vane | Mais qui es-tu? Lun 17 Jan - 20:02
♣ SEBASTIAN raphaël GRAY VANE
♂ or ♀
♣ TALK ABOUT YOU
FEAT. BEN BARNES
IT'S MY STORY.
♪ « What if God was one of us Just a slob like one of us Just a stranger on the bus Trying to make his way home » ♪
Raphaël. Ce nom appartient originellement à l’archange Raphaël, fils et serviteur de Dieu. Il signifie en hébreux « Dieu guérit ». Cette âme divine est reconnue pour être le « saint patron des voyageurs » et il est aussi l’un des trois seuls archanges à être approuvé par l’Église sur Terre en plus de Michel et Gabriel, ses frères.
Un jour, cet ange fut renvoyé du Paradis par Dieu tout puissant afin d’être mandaté à être sur terre parmi les humains. Il acquit le rôle fastidieux de devenir « préposé aux esprits des humains ». Malheureusement pour lui et pour une raison qui échappe encore à l’histoire, il perdit ses ailes et plus personne n’entendit parler de lui. Pour Dieu, Raphaël était mort et il ne reviendrait plus jamais foulé le territoire sacré du paradis...
* * *
Extrait de Biographie de la vie d’un être humain bien extraordinaire Entrevue réalisée et texte écrit par Alyson Bowen Originellement pour The Sunset Journal Publié aux Éditions du Surnaturel
Dernière copie restante
Alyson : « Dites-moi Mr. Vane, d’où venez-vous? Mr. Vane : Eh bien, je m’appelle Sebastian R. Gray Vane et je suis le fils de Nathalina Gray et Theodore Vane. Officiellement, je suis né il y a bien longtemps cela sur le territoire qui est maintenant nommé « Angleterre ». Il est bien sur évident que je n’ose même plus me souvenir de l’année que mes parents m’ont donnée pour souligner à chaque année mon anniversaire. Cependant, je peux vous faire l’honneur de vous en donner une idée Alors, il y a bien longtemps que ces derniers sont réduits au simple état de squelette et même, peut-être poussière. Je n’ai pas été vérifié, bien sur (Rires).
Alyson : Alors, qu’est-ce que pensaient vos parents de ce que vous êtes? Mr. Vane : Je les aimais beaucoup, eux et mon frère cadet, Lucius. Ils m’ont donné une vie des plus merveilleuses remplies d’amour, de joie et de bonheur et blah blah blah. Cependant, ils ont omis quelque chose de très important dans l’éducation qu’ils m’ont donné. Ils m’ont toujours caché qui j’étais vraiment. Je ne leur en veux pas. Oui, c’est bien étrange, car ils étaient les seuls personnes en ce bas monde à pouvoir me révéler qui j’étais vraiment. C’est vraiment fâcheux, mais je crois qu’ils avaient tout simplement peur de moi et de ce que je représentais à leurs yeux. J’étais différent et il le savait. Peut-être que j’aurais été différent s’ils me l’avaient révélé. Je l’ignore, mais il est vraisemblablement trop tard pour le découvrir.
A : Qu’est-ce qui vous a fait douter que vous n’étiez pas comme tous les autres humains de la planète? Mr. Vane : Sur son lit de mort, mon père m’a dit la phrase suivante dans un dernier murmure : « Tu as un grand avenir devant toi, mon fils. Tu as le destin de la Terre entre tes mains. Regarde la lumière et tu sauras qui tu es… » Naturellement, pour moi, cela ne voulait rien dire. Il m’avait aussi remis une bague qu’il m’avait fait passer dans le cou sans me dire ce que c’était. Et je ne pouvais pas poser des questions à ma mère ou à mon frère. Ils avaient déjà rendu l’âme depuis bien longtemps déjà. J’étais perplexe, perdu dans un monde qui ne semblait pas être le mien avec aucun repère pour m’aider. Mais j’avais un plus gros problème.
A : Ah oui, et ce problème, cela va s’en dire, est votre apparence physique? Mr. Vane : Oui. D’apparence physique, je n’ai pas vieilli du tout. Je suis figé dans la début trentaine pour l’éternité. Du plus loin que je me souviens, j’ai toujours eu cet âge. Ma carcasse a résisté au fil temps me laissant intemporel. J’ignore pourquoi il en est ainsi, mais c’est comme ça. Il fallait bien que je m’y fasse. Ce fait, cependant, me mettait en très grand danger. Déjà, à l’époque, on avait peur de moi et un imbécile aurait très bien pu venir m’assassiner en disant que j’étais un démon sorti tout droit des enfers. J’ai bien failli y croire à cet époque, mais j’étais loin de me douter que c’était bien tout le contraire...
A : Oui, en effet. Alors qu’avez-vous fait pour remédier à la situation? Mr. Vane : Après avoir enterré mon père aux côtés de ma mère et mon frère, je dus fuir ma contrée pour un nouveau monde. Tout en voyageant, je pensais à mon passé et cela me rendait vraiment triste. Je n’avais plus aucun souvenir de l’époque avant mes trente ans. Je ne me souviens pas du tout avoir eu une enfance ni une adolescence. Mes parents m’ont simplement dit que je m’étais cogné la tête une journée et depuis ce jour, je ne me souvenais de rien.
Au fond de moi, je savais très bien qu’ils me mentaient, mais je ne pouvais pas les forcer à me révéler la vérité. C’était simplement inhumain.
A : C’est cependant plusieurs années plus tard que vous avez vraiment découvert de quoi vous étiez capable? Mr. Vane : En effet, plusieurs centaines d’années plus tard, ma vie commença à changer. J’ai enfin découvert pourquoi mes parents semblaient avoir peur de moi. J’avais des pouvoirs et pas juste un, plusieurs en fait. J’étais ce que vous pouviez appeler un sorcier. J’ai découvert que la bague que mon père m’avait donnée avant de mourir était vraiment très spéciale. Je ne l’avais pas remarqué avant que la chaîne autour duquel je la portais ne se brise. C’est un mal pour un bien, car c’était cet objet qui m’avait permis pour la première fois de voir dans le passé en touchant un objet. Je fus l’homme le plus surpris du monde, mais aussi, le plus heureux.
A : Pouvez- vous me dire ce que vous avez vu? Mr. Vane : Oui, je ne suis pas ici pour vous mentir ou omettre des évènements de mon passé. Donc, j’étais dans un magasin et j’ai touché un vase avec seulement le bout des mes doigts. Une vision m’était alors apparue.
Une fillette était assise dans un coin, très sale.
- Amélia, viens ici!
La petite fille ne bougeait pas, apeurée. Une homme s’avança vers elle et la prit de force dans ses bras. Dans un élan de peur, elle effleura le vase qui était à ses côtés et mordit l’homme de toutes ses forces. Furieux contre la petite peste, il lança son petit corps frêle contre le mur. Malheureusement pour elle, sa vie s’envola aussitôt, laissant une carcasse vide en face de l’homme bouillant de colère. Il se retourna vivement vers une femme qui semblait vouloir fuir en courant.
- Sale vieille femme! La prochaine fois que tu voudras me vendre un enfant, fais d’elle un être docile avant sinon c’est toi que je vais briser en deux!
Et il partit tout aussi rapidement qu’il était arrivé.
A : Qu’avez-vous ressenti à ce moment précis? Mr. Vane : Des larmes avaient apparu sur mon visage. Je ressentais les émotions comme si c’était moi qui avais été un des personnages de cette histoire. Malheureusement, ces personnes avaient déjà existé il y avait de cela sûrement bien longtemps, mais ça n’enlevait rien à la tristesse de l’histoire. Cependant, malgré cette péripétie bien désolante, j’avais découvert que j’avais un don de psychométrie. C’était mon préféré d’ailleurs parmi tout le lot de ceux que j’avais.
A : Et votre bague, avez-vous pu voir quelque chose en la touchant? Mr. Vane : Bien sur, j’avais déjà pensé à toucher ma bague pour voir ce qu’elle me révélerait. Je fus bien déçu, puisque c’était le vide absolu. On aurait dit que la bague elle-même m’empêchait de découvrir ce que j’étais. C’était à n’y rien comprendre. Tout ce liguait contre moi pour m’empêcher de découvrir la vérité. À partir de ce jour, une certaine colère commença à m’habiter.
A : Vous sentiez vous seul d’être unique sur Terre? Mr. Vane : Au fur et à mesure que le temps passait, je me sentais de plus en plus seul au monde. Les amis que je me faisais finissaient tous par vieillir autour de moi, dans les villes où je m’installais. Je ne pouvais pas y rester plus de cinq ans. Les gens remarquaient vite que je n’étais pas le moins du monde comme eux. Ça me rendait vraiment triste de ne pas pouvoir lier de liens avec les gens et encore moins avec les femmes.
A : Oui, mais tout à changer, n’est-ce-pas? La chance a finalement tourné? Mr. Vane : On peut dire cela comme ça. Un jour, il y a bien des années de cela, je rencontrai la femme de ma vie. Elle était serveuse dans un bar ce qui n’était pas du tout respectable à l’époque. Moi, j’étais riche dû aux pouvoirs que j’avais. Je m’étais installé dans un immense château. J’étais de retour dans ma patrie qui était maintenant appelé Angleterre.
A : Comment s’appelait-elle et comment était-elle? Mr. Vane : Oh mon dieu, parler d’elle est difficile, mais je vais faire de mon mieux. Elle s’appelait Dahlia; juste Dahlia. Ses cheveux étaient d’un noir d’ébène et ses yeux, d’un bleu pur et rêveur. Elle était douce et brillante avec tout le monde et même ceux qui ne le méritaient pas. Un vrai ange tombé du ciel.
A : Vous êtes tombés amoureux? Mr. Vane : Oui, sur le champ. J’avais certes eu de nombreuses conquêtes au fil du temps, mais mon cœur n’avait jamais battu aussi fort que lorsque j’étais en sa présence. C’était la femme de ma vie. Quelques années plus tard, nous étions mariés.
A : Oh! Comme c’est romantique! Que s’est-il passé par la suite? Mr. Vane : J’avais dit à Dahlia que je ne vieillissais pas bien avant qu’on se marie. Je ne voulais pas lui mentir, pas à elle. Je lui disais tout et lui confiait tout. Elle était tellement éprise de moi qu’elle n’en a pas tenu compte. Dahlia m’avait accepté tel que j’étais. Cependant, elle vieillissait, mais pas moi. Je ne pouvais rien faire pour elle et j’étais triste de la voir ainsi. Elle mourrait et je serais toujours là. Lorsqu’elle eut atteint le même âge que moi physiquement, je fis un rêve bien étrange dans lequel, je voyais une peinture de Dahlia vieille et elle à côté bien jeune et pleine de vitalité.
Je me suis alors réveillé plein d’espoir. J’avais bien des pouvoirs et plusieurs non exploité. Je fis venir au château le plus grand peintre de la région. Je ne voulais que le meilleur pour ma dulcinée. Elle, semblait réticente à cette idée, mais je n’en tenus pas compte, trop excité d’avoir la possibilité de l’avoir avec moi pour l’éternité.
A : Vous avez donc enchanté le tableau? Mr. Vane : Oui, lorsque le peintre eut fini et partit, je lançai un sort au tableau pour que l’image vieillisse à la place de Dahlia. Le sort fonctionna amplement. Je commençai alors à vivre dans l’illusion que moi et ma femme allions vivre pour l’éternité ensemble.
A : Ce n’est pas ce qui s’est produit, bien sur. Que s’est-il passé pour que tout dégénère? Mr. Vane : Ma femme ne supportait pas aussi bien que moi de voir les personnes qu’elle aimait mourir autour d’elle. Au fil des années, quand tout le monde était rendu trop vieux ou étaient morts, le chagrin commença peu à peu à la ronger. Je voyais bien que ça allait dégénérer, mais je ne fis rien pour l’empêcher. Un jour, prise de colère, Dahlia s’empara du tableau et voulut le jeter par la fenêtre. Je l’en empêchai au dernier moment. Elle m’a alors regardé droit dans les yeux en me disant : « Libère moi de ma prison de jeunesse! Je n’en peu plus d’être inhumaine! ». Ça me brisa le cœur et l’esprit. À partir de ce jour, ma partie humaine s’effaça, laissant place à une carcasse sans émotions.
A : Je sais que c’est douloureux, mais qu’est-il arrivé à votre femme après cela? Mr. Vane : Dahlia s’est repliée sur elle-même. Elle n’était plus la femme ravissante et heureuse que j’aie épousé. Un jour où je n’étais pas là, elle a brûlé le tableau ce qui a eu pour conséquence de la faire vieillir en accélérer. C’est ce qui la tua en quelque minute. Je mourus définitivement de l’intérieur à ce moment-là.
A : Cette histoire est bien triste… Comment avez-vous fait pour surmonter votre peine? Mr. Vane : Eh bien, puisque je ne ressentais plus aucune émotion véritable, je décidai de changer du tout au tout. Je n’étais plus le jeune homme gentil avec tout le monde qui était serviable et attentionné. Je décidai de devenir un homme influent qui dominerait les faibles et les incompétents.
A : Vous avez donc utilisé vos pouvoirs pour être riche et célèbre? Mr.Vane : Oui, effectivement. Je n’avais plus rien à perdre, alors je pouvais faire ce que je voulais. J’ai donc commencé à voler les gens pour pouvoir partir la base de mon empire.
A : C’est à ce moment que vous avez encore plus perdu les pédales? Il y a une autre personnalité qui a commencé à prendre le dessus sur vous? Raphaël, c’est bien cela?
Fin de l’article. (Le reste a été arraché)
* * *
Notice (écrit à la main): Je m’appelle Sebastian Rapahël Gray Vane. Je ne suis pas un être humain même si, bien sur, j’en ai l’apparence. Je suis manipulateur et très observateur. Je ne ressens plus rien, plus aucune émotion humaine. Cela ne m’empêche pas pour autant de les copier. J’habite à présent à Raccoon City, loin du monde. Je suis ici, car j’ai eu vent de phénomènes étranges. Il y a d’autres créatures ici qui n’ont rien d’humains. Ce que je vais vous raconter dans mon journal est mon histoire. Lisez-la avec prudence. Ce n’est pas toujours joli...
♣ RELATIONSHIP'Z
Amelya S. Miller__ Réplique exacte de Dahlia, ancienne femme de Sebastian Raphaël Gray Vane.
♣ BEHIND YOUR SCREEN =)
PRÉNOM OU PSEUDO ;; Brume AGE ;; bientôt 21 ans OU AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ;; Par celle qui joue Savannah TES IMPRESSIONS ;; Forum magnifique NOMBRE DE LIGNES ;; Je dirais beaucoup plus que 20... ;) CODE DU RÈGLEMENT ;;
Spoiler:
De l'ombre à la lumière!
Dernière édition par Sebastian R. Gray Vane le Dim 30 Jan - 19:25, édité 21 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Sebastian Raphaël Gray Vane | Mais qui es-tu? Lun 17 Jan - 20:03